° Le but premier, essentiel, responsable du caractère d’urgence de l’intervention est d’empêcher le malade de mourir de tamponnade, d’insuffisance aortique ou de malperfusion viscérale ou cardiaque.
° L’autre but est de réaliser la réparation la plus complète et la plus stable possible pour prévenir au maximum :
- l’évolution anévrysmale du faux chenal persistant en aval de la réparation, c’est à dire la constitution d’un anévrysme de l’aorte thoraco-abdominale.
- l’apparition d’une insuffisance aortique secondaire
- la survenue d’une dissection récurrente
- les réinterventions
- les ruptures tardives